HDMI 2.1 48GBPS

Vos câbles HDMI sont-ils en mesure de transmettre toutes les données que nécessite cette qualité d’image avec un débit suffisant ? Sont-il à la hauteur des exigences de ces appareils ?

Depuis la création de l’interface HDMI, les normes HDMI (comme la norme HDMI 2.0 et la très récente norme HDMI 2.1) servent à différencier les capacités des contrôleurs HDMI, c’est-à-dire les interfaces qui adressent et réceptionnent les flux de données numériques en entrée et en sortie des différents appareils. 

 

  • Norme HDMI 1.4 : compatible 4K Ultra HD (3840 x 2160 pixels) à 24, 25 et 30 images/s et compatible 3D. Débit maximum 10,2 Gbps.
  • Norme HDMI 2.0 : compatible 4K Ultra HD (3840 x 2160 pixels) à 24, 25, 30 et 60 images/s, compatible HDR (HDR10, HDR10+, HLG et Dolby Vision). Espaces colorimétriques étendus comme le BT.2020 et échantillonnage des couleurs jusqu’en 4:4:4 pris en charge. Débit maximum 18 GBits/sec.
  • Norme HDMI 2.1 : compatible UHD 4K, 8K et 10K à 24, 25, 30, 60 et 120 i/s, compatible HDR (HDR10, HDR10+, HLG et Dolby Vision). Débit de données porté à 48 GBits/sec. Mode jeu VRR (Variable Refresh Rate) et ALLM (Auto Low Latency Mode).

 

  • Il suffit donc d’un câble HDMI High Speed (débit 10,2 Gbps) pour profiter des contenus 4K Ultra HD actuels (3840 x 2160 pixels à 24, 25 et 30 images/s) qu’on trouve sur les disques Blu-ray 4K Ultra HD, à condition que chaque maillon relié par ce câble possède des contrôleurs à la norme HDMI 1.4 ou HDMI 2.0. 

    Attention cependant à la longueur de câble HDMI dont vous avez besoin ! À partir d’une longueur de 5 à 8 mètres, une atténuation du débit peut commencer à se faire sentir, occasionnant des artefacts et/ou des pertes de signal. 

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On a testé... la musique en haute définition

A gauche, le morceau en définition normale. A droite, le même morceau en basse définition. On voit bien que les hautes hautes fréquences sont coupées.

L'audio HD ont plusieursarguments intéressants. Lorsqu'on ampute la musique des sons suraigus, elle perdrait son naturel. Pour le comprendre, pressons la touche d'un piano : le son qui s'en dégage est composé d'une note dominante, et de vibrations additionnelles dans les aigus – les harmoniques. Couper un instrument de ses harmoniques reviendrait à l'empêcher de respirer correctement. Le niveau de détail faiblirait, la spatialisation du son en souffrirait, la texture sonore s'appauvrirait. La musique sonnerait moins naturelle.

Autre argument : lorsque le volume sonore chute en cours de morceau – ce qui est fréquent en jazz ou en classique – la HD permettrait de ressentir un meilleur son, sur un excellent système audio, poussé à un volume élevé. Les défenseurs du son HD affirment également que le souffle serait moins audible sur certains enregistrements HD. Les aigus seraient plus clairs, en raison d'un problème de filtrage qui troublerait les enregistrements ordinaires.

Comparatif casques Bluetooth Hi-Res : lequel choisir en 2019 ? .

Pour profiter de ce gain important en mode sans fil, le casque Bluetooth doit être explicitement compatible. Pour profiter de ce gain important en mode sans fil, le casque Bluetooth doit être explicitement compatible.

 

1-    Bowers & Wilkins PX : la Hi-Res Bluetooth avec la classe anglaise,

Caractéristiques : aptX HD, Bluetooth 4.1, autonomie 29 heures, recharge USB-C, 340 grammes

 

Bowers & Wilkins est l’exemple même du spécialiste de la haute-fidélité ayant rejoint sur le tard le monde des casques audio. La longue expérience acquise avec les enceintes a servi de base au développement du PX. Il est équipé de transducteurs de 40 mm haut de gamme dérivés de ceux utilisés dans le casque filaire P9 Signature de la marque. Sa bande passante couvre les fréquences de 10 à 20 000 Hz.

 

Le PX bénéficie d’un système d’annulation des bruits extérieurs perfectionné. Avec trois niveaux d’action (bureau, ville, avion), il s’adapte à l’environnement pour ne laisser filtrer si besoin que l’essentiel. Sa finition, faite de cuir et de nylon tressé, est exemplaire. Il se replie pour se ranger dans sa pochette matelassée fournie. L’utilisation de matériaux de qualité augmente le poids, qui monte à 340 grammes.

 

2-    Denon AH-GC25W : le casque circum-aural Bluetooth le plus compact

Caractéristiques : aptX HD, Bluetooth 5, autonomie 30 heures, recharge micro USB, 283 grammes

 

Denon fait partie des acteurs majeurs dans les casques audio pour passionnés. Sa gamme comprend deux casques sans fil dont cet AH-GC25W est le représentant le moins cher. Il est dépourvu de système d’annulation de bruit. Seul le système Clear Voice Capture vient améliorer la reproduction des voix lors des appels téléphoniques via les deux microphones intégrés.

C’est un casque circum-aural mais son format comme son poids sont contenus avec 283 grammes sur la balance. Pour compenser, il est équipé d’oreillettes en mousse à mémoire de forme et d’un arceau bien rembourré. Sa certification Hi-Res lui offre une reproduction des fréquences de 5 à 40 000 Hz grâce à des transducteurs de 40 mm. Il se replie et est livré avec sa petite housse de transport. Le Denon AH-GC25W est disponible en blanc ou en noir.

 

3-    Pioneer SE-MS9BN : un excellent rapport qualité/prix

 Caractéristiques : aptX HD, Bluetooth 4.2, NFC, autonomie 27 heures, recharge micro USB, 300 grammes

 

Ce gros casque Pioneer circum-aural est proposé en noir et en marron. Ce n’est pas le plus discret, mais sa finition reste sobre. Il dispose de transducteurs de 40 mm avec aimants en terre rare lui permettant de descendre à 5 Hz. Il grimpe à 22 kHz en mode Bluetooth. Les écoutes Hi-Res en aptX HD lui tendent les bras.

Le SE-MS9BN dispose d’une autonomie de 27 heures qui perd trois heures si l’on active la réduction de bruit. La durée de recharge est estimée à 4 heures. Il est également doté d’un micro pour la fonction téléphonie et pour parler à son téléphone par l’entremise de Google Assistant. Avec 300 grammes, il est dans la bonne moyenne, ni trop lourd, ni trop léger.

 

4-    Technics F50 : le casque aptX HD et LDAC le plus accessible

Caractéristiques : aptX HD, LDAC, Bluetooth 4.2, autonomie 35 heures, recharge mini Technics propose deux nouveaux casques à l’apparence massive et rassurante. Le F50, le plus accessible des deux, est dépourvu d’annulation de bruit active. Ses gros coussinets en cuir rembourrés devraient déjà vous isoler correctement du monde qui vous entoure. Ils renferment des transducteurs de 40 mm à aimant en néodyme. La bande passante annoncée s’étend de 20 Hz à 40 000 Hz en Bluetooth.

Pour son F50, Technics a retenu l’aptX et le LDAC afin de pouvoir l’associer à toutes les sources Hi-Res. Il bénéficie d’une excellente autonomie avec 35 heures au compteur et seulement 4 heures pour une recharge complète. Il est doté de micros pour la téléphonie et l’assistant vocal. Enfin, malgré son grand format, le poids reste contenu et il est pliable.USB, 286 grammes

 

 

 

5-    Sony WH1000XM3 : la référence des casques Hi-Res sans fil à annulation de bruit

Caractéristiques : aptX HD, LDAC, Bluetooth 4.2, NFC, autonomie 38 heures, recharge USB-C, 255 grammes

Dans sa troisième version, le Sony WH1000XM vise à conserver sa place de leader. Il reprend tout ce qui a fait le succès des modèles précédents. Doté de transducteurs de 40 mm faits d’aluminium et de polymères à cristaux liquides, il couvre les fréquences jusqu’à 40 000 Hz. Les amplificateurs numériques intégrés sont accompagnés du système DSEE HX visant à relever les fréquences extrêmes souvent affaiblies des fichiers audio compressés.

Sony a équipé le WH1000XM3 de l’annulation de bruit automatique avec l’un des meilleurs résultats dans le domaine sur le marché. Trois modes différents couvrent les environnements tels que le bureau, la ville et les transports. Toutes les fonctions se gèrent de façon tactile sur les oreillettes. Avec cette somme de fonctionnalités, ce casque Sony reste pourtant l’un des plus compacts et légers du marché.


Qu'est ce qu'un Dac ?

Initiales de Digital-to-Analogic Converter, ou dans la langue de Molière Convertisseur Numérique-vers-Analogique. Le terme est assez parlant, son but est de transformer un signal de type numérique en un signal de type analogique. Si le terme DAC ne veut pas nécessairement dire que nous parlons du décodage d'un signal audio, le grand public (si ce terme peut être qualifié de grand public) l'associe plutôt à "Dac audio".
Un Dac audio aura donc la tache de convertir un type de signal numérique modulé de telle ou telle façon (PCM ou DSD) vers un signal analogique, qui n'aura plus besoin que d'être légèrement adapté et amplifié (le rôle de l'amplificateur) pour être exploitable sur un casque ou sur des enceintes.

Si la tache est assez simple et maitrisée par n'importe quel Dac, le passage d'un signal numérique à analogique est une étape cruciale, pour laquelle il n'existe pas vraiment de notion de perfection. Un Dac simple, comme ce que l'on retrouve sur smartphones ou sur un casque Bluetooth, est avant tout pensé pour consommer peu, optimiser la batterie. Son but est de créer un compromis entre qualité et consommation.
Un Dac plus qualitatif, comme ce que l'on retrouve sur les cartes de salon, ne possède pas les mêmes contraintes. Les puces peuvent être plus énergivores, optimisées pour un meilleur rapport signal/bruit, une meilleure diaphonie, etc. De même, le schéma général peut se permettre d'être plus complexe et de se baser sur des composants de meilleure qualité. Des notions pouvant être considérées comme une perte d'énergie et d'espace sur un modèle classique peuvent devenir intéressantes si l'audiophilie est au bout. Même problématique concernant sa puissance de sortie.

Précisons que le terme Dac peut signifier 2 choses. La première est le convertisseur en lui-même, presque toujours sous forme de puce intégrée. Mais il peut également désigner, par extension et par léger abus de langage, une carte son. Parler de "Dac externe" fait bien évidemment référence à une carte son. À l'inverse, parler d'un "Dac AKM ou ESS (deux fabricants de puces)" fait référence au convertisseur en lui-même.


Quelle section de câble choisir ?et L’influence de l’isolation sur la qualité du câble 

Le diamètre d’un câble est également un critère important à prendre en compte dans le choix d’un câble d’enceinte. C’est déterminant quand la longueur augmente, car l’amplificateur ne « voit » qu’un ensemble câble + enceinte. La capacité du câble et sa résistance ont donc une influence sur le comportement de l’amplificateur. Un câble d’enceinte de faible section se montre généralement plus adapté pour le transport des hautes fréquences. Cela dit, les pertes de niveau en ligne peuvent être trop importantes à partir d’une dizaine de mètres. Il est par conséquent recommandé de privilégier une section comprise entre 1,5 et 2,5 mm² pour les longueurs comprises entre 1 et 10 mètres. Au-delà, un câble d’une section de 4 mm² est souvent préférable.

La section du câble et la qualité des conducteurs ne sont pas les seuls éléments à prendre en compte pour garantir la qualité d’un câble. Il faut en effet savoir que les conducteurs internes des câbles sont plus que jamais exposés à de nombreuses perturbations électromagnétiques générées par la prolifération des appareils électroniques dans nos maisons. Tous les appareils électriques et électroniques sont susceptibles d’engendrer de telles perturbations : smartphones, Box ADSL, enceintes connectées, téléviseurs, four à micro-ondes, etc. Même le simple fait de laisser courir en parallèle différents types de câbles (alimentation électrique, câbles audio et vidéo, câbles d’enceintes) peut occasionner des perturbations. Leur action sur le comportement des câbles et sur l’intégrité du signal véhiculé est donc un phénomène qu’il faut prendre en compte lors du choix d’un câble, quel qu’il soit. Par conséquent, plus les perturbations sont nombreuses et proches du câble, plus son niveau d’isolation doit être important.

Si vous devez simplement relier deux appareils d’entrée de gamme et que l’environnement est dépourvu de pollution électromagnétique (pas de WiFi, pas de Bluetooth, pas de téléphone sans fil, etc.), alors tout câble standard doté d’une section adaptée est amplement suffisant. En revanche, si votre installation comporte de nombreuses sources de perturbation mentionnées ci-dessus, il est préférable de choisir un câble optimisé bénéficiant d’un haut niveau de blindage.


 

 

 

 

Bluetooth HD, Apt-X, SBC, AAC, LDAC 

À savoir : lorsque vous écoutez Spotify, Deezer, Qobuz, Google Music ou Apple Music, le flux est automatiquement recompressé seon le codec choisi par l’émetteur et le récepteur.

La transmission audio Bluetooth est aujourd’hui systématiquement intégrée aux smartphones, aux tablettes ainsi qu’à la majorité des ordinateurs portables. Pour cause, elle reste le moyen le plus simple de diffuser de la musique sans fil, sans besoin de connexion à un quelconque réseau domestique. La stabilité de la transmission s’est grandement améliorée au fil des générations, les récents contrôleurs Bluetooth étant à la fois économes en électricité et capables de débits de données élevés (un point important pour la qualité sonore).

 

Comment fonctionne la transmission Bluetooth ?

 

Prenons l’exemple d’un smartphone et d’une enceinte Bluetooth. Lorsque les deux appareils sont associés (par détection ou frôlement lorsqu’une puce NFC est présente), ceux-ci se présentent l’un à l’autre et énumèrent leurs capacités respectives. S’agissant de la transmission audio, pas moins de 5 modes de compression sont possibles. Leur choix n’est (presque) jamais laissé à l’utilisateur et ce sont les puces Bluetooth qui déterminent le mode de transmission à utiliser. Si les conditions radiofréquences le permettent (peu d’interférences, proximité des deux appareils, éventuels claviers ou souris Bluetooth connectés à la source), c’est le mode le plus qualitatif qui est automatiquement choisi.

Lorsque les conditions se dégradent (dans les transports en commun par exemple, du fait de la proximité d’autres smartphones et casques Bluetooth), émetteur et récepteur s’adaptent et changent de manière transparente leur mode de communication. Le codec apt-X HD est alors délaissé au profit du codec de qualité immédiatement inférieure.

Les codecs Bluetooth Apt-X et Apt-X HD

Désormais très répandus, les codecs apt-X offrent une haute qualité de transmission, avec un débit d’environ 576 Kbits pour l’apt-X HD et de 350 Kbits pour l’apt-X. La méthode de compression du son est détériorant (des informations sont supprimées), mais la restitution reste très bonne. Qualcomm, l’entreprise qui a développé le codec apt-X HD et commercialise les puces Bluetooth apt-X HD évoque une qualité proche du CD. À l’écoute, on note une aération plutôt agréable et une réponse en fréquence large.

Bluetooth : le codec AAC 

 

Si vous possédez un iPhone, un iPod touch ou un iPad, vous ne pourrez pas profiter du codec apt-X, Apple ayant choisi pour ses appareils un autre fournisseur de contrôleur Bluetooth que Qualcomm (seul fabricant à commercialiser des puces apt-X). De ce fait, l’impasse a jusqu’à pour l’instant été faite sur l’apt-X. Apple a opté pour la compression audio AAC, qui est également le format choisi pour iTunes et Apple Music. Les différences qualitatives avec l’apt-X sont très minces, d’autant que si l’on écoute de la musique avec iTunes au format AAC, aucune re-compression n’est opérée.

Bluetooth : le codec SBC

 

Le Sub Band Codec (SBC) utilise un algorithme de compression comparable au WMA de Microsoft. Lorsque les conditions radio sont bonnes, le débit est de 350 Kbits /sec avec à la clé une qualité d’écoute correcte. En revanche, lorsque le débit chute à 128 Kbits /sec, des artefacts audio sont audibles dans les hautes fréquences. Si vous avez déjà eu l’impression que votre casque Bluetooth grésillait, vous n’avez pas rêvé et la faute en incombe au codec SBC.

À SAVOIR : L’IMPLÉMENTATION DU CODEC SBC EST OBLIGATOIRE POUR LES FABRICANTS. AINSI, LORSQUE LA COMMUNICATION EN LDAC, APT-X OU AAC N’EST PAS OU PLUS POSSIBLE, ÉMETTEUR ET RÉCEPTEUR « SE RABATTENT » SUR LE CODEC SBC.

Comment profiter d’une haute qualité d’écoute en Bluetooth ? 

 

Si vous recherchez une transmission Bluetooth lossless (sans perte d’informations), il faudra opter pour des appareils compatibles LDAC comme un baladeur audiophile ou un smartphone Sony, ainsi qu’un casque Bluetooth, une enceinte Bluetooth ou tout autre appareil récepteur également compatible LDAC.

Le codec Bluetooth LDAC 

 

Actuellement, le codec Bluetooth le plus qualitatif est le LDAC de Sony. Son fonctionnement repose sur la norme Bluetooth 4.0 afin qu’un fichier audio de qualité CD (16 bits / 44,1 kHz) puisse être transmis sans détérioration. Une transmission jusqu’à 24 bits / 96 kHz est même possible, mais avec tout de même un minimum de compression. Longtemps resté technologie exclusive de la marque nippone, seuls les appareils Sony pouvaient l’utiliser entre eux. Fort heureusement, ce codec peut depuis maintenant quelques années être utilisé par d’autres marque

SI VOUS POSSÉDEZ UN IPHONE, SÉLECTIONNEZ LES DIFFUSEURS AUDIO BLUETOOTH COMPATIBLES AAC. C’EST LE CAS DE NOMBREUX AMPLIS DENON PAR EXEMPLE.


Le SA-CD, autrement appelé SACD ou Super Audio CD, est un disque optique de la taille d'un CD audio dont la capacité de stockage est équivalente à celle d'un DVD vidéo. Contrairement au CD audio qui stocke la musique au format PCM, le SACD adopte le format DSD, développé conjointement par Philips et Sony dans les années 90. Le format DSD utilise une méthode de conversion numérique de la musique basée sur la technologie Delta Sigma, avec une fréquence d'échantillonnage 64 fois plus élevées que sur le CD audio.

La densité de gravure et la capacité de stockage du SA-CD sont équivalentes à celles du DVD, tout comme le type de laser utilisé pour la lecture du disque. Par rapport au CD audio, la quantité d'informations pouvant être stockées est donc bien plus importante, ce qui, combiné à la plus grande fréquence d'échantillonnage du format DSD, constitue une différence très significative. Un flux stéréo au format DSD dispose de caractéristiques techniques excellentes : réponse en fréquence jusqu'à 50 kHz et rapport signal/bruit dépassant les 120 dB. La différence de qualité entre un CD audio et un SA-CD est ainsi comparable à celle constatée entre l'image issue d'un DVD et celle d'un disque Blu-ray enregistrée en résolution 1080p.

 


L'histoire de Marantz

L’histoire de Marantz commence à la fin des années 40, lorsque Saul Bernard Marantz développe ses premiers amplis dans sa cave, pour écouter sa collection de disques microsillons. Au début des années 50, il met au point un pré-ampli phono révolutionnaire pour l’époque, puisqu’il intègre les courbes d’égalisation des différents labels de disques vinyle. Baptisé “Audio Consolette”, il remporte un vif succès auprès de ses amis audiophiles.

Saul B. Marantz fonde alors la société Marantz en 1953 et ouvre sa première usine à Woodside, dans le Queens (New York). Marantz produit alors son pré-ampli phono, baptisé Model 1, l’amplificateur de puissance Model 2 (1956) et le pré-ampli stéréo Model 7 (1958) qui demeurera une référence durant de nombreuses années dans le domaine des pré-amplis audiophiles haut de gamme.

Malgré le succès de l’ampli mono Model 9 et du tuner Model 10 produits au début des années 60, Marantz connaît des difficultés financières. La société est rachetée par Superscope qui réoriente la production vers des produits plus abordables et envisage la fabrication sur le sol japonais, avec la création de Marantz Japan (1975).

Le rapprochement avec des équipes de développement et de production japonaises est notamment marqué par l’arrivé de l’ingénieur Ken Ishiwata au sein de Marantz Europe en 1978. Véritable icône dans les milieux audiophiles, ce passionné de musique et de technologies a signé quelques-unes des plus prestigieuses productions Marantz à partir du milieu des années 80, siglées SE puis KI depuis les années 2000.

 En 1992, Philips rachète la marque avant de la céder en 2008 à D&M Holdings, marque américaine, la maison mère de Denon. La gamme comprend des produits à l'attention de grand public, ainsi que des électroniques de prestige destinées aux audiophiles exigeants.


L'histoire de Denon

Retrouvez ici tous les produits Denon 2019. L'histoire de Denon commence en 1910, lorsque la première usine démarre la fabrication en petite série de gramophones. La TSF émet ses premiers balbutiements, annonçant à quelques privilégiés la naissance d'une source de plaisir infini. Denon est l'une des premières marques à imposer l'idée d'une restitution de très haute qualité sonore et va alors s'y consacrer en misant sur l'innovation technologique. Denon est l'un des premiers à concevoir et à enregistrer des vinyles en stéréophonie, domaine dans lequel la marque excelle, raflant tous les prix et trophées à travers le monde. Les enregistrements Denon font autorité, aussi bien pour leur aspect technique.  Denon met tous les moyens pour capter les émotions et les graver sur disque vinyle. Maîtrisant parfaitement toute la chaîne de reproduction depuis la salle d'enregistrement, Denon s'efforce de restituer cette émotion chez le particulier.

1963 est une date clé pour Denon. La légendaire cellule à bobine mobile Denon DL103  révolutionne la haute-fidélité. Un son inimitable, une musicalité exceptionnelle : la Denon DL103 est aujourd'hui toujours commercialisée, les audiophiles continuant de se l'arracher. 1971 amorce un tournant capital dans l'histoire de la haute fidélité. La marque réalise le premier enregistrement numérique en PCM. Les frontières de la perfection sont encore repoussées. Les enregistrements, gravés sur disques noirs, font un bond en avant spectaculaire, mais Denon prépare déjà le terrain pour le disque laser. Dix ans plus tard, le CD bouleverse la haute-fidélité. Denon a déjà mis à profit son avance technologique et cultivé ses différences. Les récompenses s'accumulent encore une fois.

Aujourd'hui, fort d'un savoir-faire inégalé, Denon est en mesure d'atteindre à nouveau cette forme d'absolu. Par exemple grâce au processeur Alpha et aux convertisseurs Super Linéaires Lambda, le disque laser dépasse ses limites. Mais au-delà des discours sur la pérennité de la stéréophonie, de la multi amplification à 6 ou 8 canaux, c'est en les écoutant que les ingénieurs de Denon développent et valident les éléments qui composent aujourd'hui votre chaîne haute fidélité ou Home-cinéma.


Résoudre les problèmes de compatibilité HDCP

Vous avez investi dans un lecteur Blu-ray UHD 4K et un TéLéVISEUR oled 4k dernière génération, vous avez un accès Internet par fibre optique pour Netflix et Amazon Prime Vidéo en UHD 4K, et vous souhaitez conserver votre ancien ampli home cinéma ou barre de son
Attention ! Si vous reliez tous ces éléments avec des câbles HDMI, vous pourriez bien ne voir aucune image apparaître à cause d’un problème de compatibilité HDCP.

HDCP : définition

HDCP est l’acronyme de High-Bandwidth Digital Content Protection, ce qui signifie Protection des Contenus Numériques à Haute Bande passante (c’est-à-dire en haute définition). Il s’agit d’une protection matérielle et logicielle destinée à contrôler les flux audio-vidéo numériques HD et UHD pour en interdire la copie numérique directe.

En pratique, lorsqu’un lecteur Blu-ray UHD 4K ou une box TV UHD 4K est connecté en HDMI à un TV ou un vidéoprojecteur, des informations sont échangées entre les deux appareils, notamment leur niveau de protection HDCP. Le lecteur audio-vidéo “interroge” ainsi l’appareil auquel il est connecté pour connaître son niveau de protection HDCP et vérifier s’il est en mesure de protéger les données numériques qu’il va lui transmettre.

La protection anticopie des contenus de résolution UHD 4K fait appel à la version HDCP 2.2 de cette norme. Or la norme HDCP 2.2 n’est pas rétrocompatible avec les précédentes versions HDCP. De plus, elle ne peut pas être implémentée comme une simple mise à jour logicielle sur les appareils qui en seraient restés à la version HDCP 2.1, comme les TV UHD 4K de première génération...

Option 1 : séparer image et son, Si le lecteur Blu-ray UHD 4K possède deux sorties HDMI, dont une HDCP 2.2 pour l’image et une seconde dédiée uniquement au son, on relie la sortie HDMIvidéo à la TV 4K (liaison compatible HDCP 2.2) et la sortie HDMI audio à l’ampli ou à la barre de son d’ancienne génération. 

On peut alors profiter d’une image UHD 4K et d’un son Dolby True HD ou DTS HD MA (sur les amplis et barres de son compatibles avec ces formats audio).

HDMI vidéo + HDMI audio

Option 2 : récupérer le son depuis la TV, On peut exploiter le canal de retour audio HDMI du téléviseur pour récupérer le son et l’adresser à un ampli home-cinéma ou une barre de son compatible. Dans ce cas, on établit une liaison HDMI directe entre le lecteur Blu-ray UHD 4K et le téléviseur compatible HDCP 2.2. On établit une seconde liaison entre la prise HDMI ARC du téléviseur et la prise HDMI ARC de l’ampli ou de la barre de son. Là encore, le son est limité au maximum à du Dolby Digital et du DTS 5.1.

Audio numérique optique

Si le téléviseur possède une sortie audio numérique optique, on établit alors une liaison HDMI directe entre le lecteur Blu-ray UHD 4K et le téléviseurcompatible HDCP 2.2, puis on relie la sortie optique de la TV à l’entrée optique de l’ampli home-cinéma ou de la barre de son.

HDMI ARC (Audio Return Channel)

Option 3 : utiliser un boîtier convertisseur HDMI, Il existe des boîtiers électroniques spécialement conçus pour modifier à la volée la norme de protection HDCP. Un tel boîtier peut rendre compatible tout lecteur vidéo doté d’une sortie HDMI protégée par la norme HDCP 2.2 avec tout téléviseurvidéoprojecteurampli home-cinémabarre de son... dont la norme de protection HDCP est antérieure. 


 

Haute-fidélité

Bien placer ses enceintes Voici un appartement avec une configuration classique (à défaut d’être parfaite) dans un appartement normal. Sur l'exemple ci-contre, les enceintes colonnes, plaquées ainsi au mur, font un angle trop fermé. L'image stéréo sera étriquée. En adossant les enceintes contre le mur du fond, on augmente la surface acoustique du baffle (surface avant de l'enceinte) et le niveau de grave est augmenté. Cette position peut compenser des enceintes dont le grave manque de tonus. Certaines enceintes, en home-cinéma surtout, sont conçues pour être placées contre le mur, voire encastrées dans la cloison. Leur courbe est adaptée en conséquence.

 

En les plaçant ainsi, plus écartées et décollées du mur, l'image stéréo prend beaucoup plus d'ampleur. Les graves retrouvent une dimension naturelle. En formant un triangle isocèle avec l'auditeur, elles sont dans la position idéale. Vous noterez qu'un point de vue agréable, ici un tableau permet de mieux appréciez la musique. Ci-dessous, on voit que la présence d'une TV au centre peut perturber l'écoute de musique: on a envie d'allumer la TV tant elle s'impose au centre.

 

La présence d’une télévision est fréquente dans le salon. Sans aller jusqu’à installer un système home-cinéma (cf. pages suivantes), on peut souhaiter écouter la vidéo sur la chaîne hi-fi. La bande passante étendue permet une écoute plus confortable. En plaçant les enceintes de part et d’autre d’un meuble, il faut essayer de libérer un peu d’espace autour de chaque enceinte (vers le meuble et vers le mur). Dans notre exemple, nous avons orienté les enceintes vers la zone d’écoute car l’écartement commence à être un peu trop important (vous ne pouvez bien sur pas changer de meuble pour avoir une position idéale). On peut placer la TV au centre de la pièce ou en coin. Pour bénéficier d’une image stéréo crédible, il vaut mieux mettre la TV entre les enceintes. L’exemple ci-dessous est acceptable pour regarder des programmes en mono

 

 

Bien placer ses enceintes [compactes]

 

Les enceintes compactes utilisées en hifi sont souvent posées sur des meubles ou, pire, posées au sol (quand elles sont de taille moyenne). Cela se traduit par un grave enflé et une atténuation importante des aiguës par le mobilier (ici modeste, mais imaginez avec un fauteuil en plus). Pour tirer parti de l'excellence de vos enceintes compactes, il faut les poser sur des pieds conçus à cet effet (cf rayons dédié). Décollées du mur pour utiliser l'espace de manière arrière, voici la position des enceintes qui donnera le meilleur rendu. Ci-dessous: une solution à éviter !

Améliorer l’image sonore

 

 

 La réverbération d'une pièce peut réduire considérablement la précision de l'image sonore, notamment en hi-fi stéréo. Pour contrôler au mieux ce phénomène, il convient d'équilibrer le son direct avec le son réverbéré. Le son direct est celui qui arrive directement des haut parleurs à vos oreilles. Le son réverbéré est celui qui atteint l'auditeur après une ou plusieurs réflexions/diffusions dans le local. Un local trop réverbérant nuit à la compréhension, un local trop mat est fatigant. Il faut donc traiter l'acoustique de votre salon d'écoute pour obtenir une réverbération raisonnable et sans résonance. Celle-ci sera obtenue en plaçant des objets diffusant comme des meubles et, surtout, des étagères ouvertes. Plus la géométrie des réflexions est complexe, plus la réverbération aura un spectre homogène, sans résonance. Une réverbération, même agréable, ne doit pas prendre le pas sur le son direct. Cela nuirait à la précision de l'image sonore.

 

Pour éviter ce phénomène, il existe 2 méthodes qui utilisent l'effet Haas. Cet effet détermine le délais minimum qui doit séparer la perception du son direct de celle des réflexions pour qu'on puisse localiser la source. La première stratégie consiste à placer les enceintes très près de l'auditeur... et donc très loin des murs. On est sûr, ainsi, de recevoir le signal direct bien avant les réflexions. Cette méthode est utilisée en studio d'enregistrement avec les "écoutes de proximité". Elles servent à régler le son à l'enregistrement. L'effet Haas explique ce phénomène. Cet "effet" décrit la perception des réflexions quand celles-ci sont très proches du son direct. Pour distinguer le son direct du son réverbéré, il faut qu'un espace de 50mS au moins les sépare. En réduisant les réflexions comprises entre 0 et 50mS, on améliore la précision du signal reçu. La seconde méthode, plus applicable dans un environnement domestique, consiste à éviter les réflexions à proximité de l'enceinte.

 

 

Cela passe par : - placement des enceintes en hauteur (sur pieds) - écartement des enceintes par rapport aux murs pour réduire les réflexions proches - placement d'une surface absorbante (tapis) au sol - orientation des enceintes vers l'auditeur.


Choisir une chaîne haute-fidélité adaptée à ses goûts, à son budget et à ses attentes n'est pas forcément chose aisée. Quelles marques choisir ? Quelle puissance pour l'amplificateur  ? Vers quel type d'enceintes  s'orienter ? Quel budget consacrer à chaque élément ?

Ce sont autant de questions qui se posent immanquablement au futur acheteur.

Si votre pièce est petite, c'est-à-dire moins de 9 m², inutile de compter percevoir les fréquences inférieures à 35 Hz qui ne seront audibles que de la pièce à côté ! À l'opposé, pour les grandes pièces, à partir de 20 m², il faut tenir compte de l'atténuation liée à la distance entre les enceintes et l'auditeur, selon sa position d'écoute. La réponse en grave est déterminante pour l'encombrement. Il est beaucoup plus facile de faire des enceintes compactes de bonne qualité quand on fait l'impasse sur les octaves les plus basses. Ce manque n'est pas trop gênant si l'enceinte est bien équilibrée, et peut éventuellement être compensé par l'ajout d'un caisson de basses.

 

Concernant la source, selon qu'il s'agisse d'un lecteur CD , d'un lecteur réseau  ou d'un ordinateur, on prêtera particulièrement attention à la mécanique de lecture (qui doit être stable et silencieuse), au transport du flux numérique jusqu'au convertisseur (respect du signal, protection contre les bruits et les interférences), au DAC lui même (sur-échantillonnage ou pas, fréquence de travail) et aux étages de sortie analogiques, ces derniers contribuant de manière primordiale à la musicalité du signal reproduit. Si votre source principale est votre ordinateur et ses gigaoctets de musique numérisée, le DAC USB est incontournable pour profiter d'une qualité audio optimale. Outre la conversion numérique/analogique, les DAC audio les plus performants sont dotés d'un port USB asynchrone qui s'affranchit de la fréquence d'horloge originale du signal, souvent perturbée par tous les circuits électroniques de l'ordinateur, pour cadencer le débit des données entrantes sur sa propre horloge, bien plus fiable. Ne négligez pas la qualité d'encodage de vos fichiers audio et privilégiez dans la mesure du possible les formats de compression sans perte (Lossless), voire les fichiers HD.

 

La puissance d'un amplificateur n'est pas un critère de choix absolu. Bien sûr, elle doit être confortable, une puissance de 2 x 45 Watts RMS pouvant être admise comme le minimum acceptable. Mais elle doit surtout être adaptée à la taille de votre pièce et aux caractéristiques des enceintes. Par ailleurs, le nombre et la nature des entrées audio, la présence ou non de fonctions de correction acoustique (balance, tonalité) ou la possibilité de le commander à distance sont des critères de choix à part entière.

Les enceintes, enfin, doivent être proportionnées à la pièce d'écoute, comme on l'a vu plus haut, et adaptées à l'impédance et à la puissance de l'amplificateur . Leur sensibilité est un élément à bien prendre en compte également. Ainsi, des enceintes ayant une sensibilité peu élevée demanderont plus de puissance pour obtenir un certain niveau sonore. À l'inverse, des enceintes à la sensibilité élevée pourront se contenter d'un amplificateur à la puissance plus modeste pour produire le même niveau sonore.

 

Chaque maillon d'une chaîne haute-fidélité a son importance, que ce soit la source, l'amplificateur (ou le couple ampli/pré-ampli) ou les enceintes. Certes, l'enceinte peut sembler prépondérante. D'abord parce qu'elle est le dernier élément avant nos oreilles : c'est elle qui convertit le signal électrique de puissance en une vibration acoustique. Ensuite parce que tous les spécialistes conviennent du fait que l'on conserve de bonnes enceintes plus longtemps que tout autre maillon de la chaîne. Mais de bonnes voire de très bonnes enceintes ne sauraient faire de miracle avec une source de mauvaise qualité et/ou une amplification anémique à l'alimentation trop faiblarde pour ne pas saturer dès que l'on pousse le volume.

C'est pourquoi il faut toujours avoir comme objectif de créer un système équilibré. La performance globale d'un système est toujours limitée par son maillon le plus faible. Il est donc inutile, voire contre productif, de choisir des enceintes performantes si votre amplificateur maltraite le signal ou si votre source principale est un lecteur DVD basique ou encore votre ordinateur et sa ribambelle de fichiers audio MP3 ultra-compressés ! De très bonnes enceintes risquent en effet de faire ressortir les défauts d'une source de mauvaise qualité, qui auraient été gommés par des enceintes plus modestes.

 

Le maître mot qui doit guider le choix est l'équilibre, d'un bout à l'autre de la chaîne. Et s'il doit y avoir un élément de meilleur qualité que les autres, mieux vaut qu'il s'agisse de la source, plutôt que des enceintes, pour que le signal d'origine soit toujours le meilleur possible. Gardez également à l'esprit que tout appareil électronique et toute enceinte demande une période de rodage avant d'atteindre son plein potentiel.

HEOS 

Avec Heos, Denon a mis en place un système audio multiroom simple et efficace qui permet de diffuser dans toute la maison de multiples sources musicales, sans fil. Via l’application de contrôle à télécharger gratuitement sur smartphone ou sur tablette, on peut profiter de Spotify, Deezer ou Tidal, mais aussi de nombreuses webradios (TuneIn), ou encore des musiques stockées sur un ordinateur ou sur un NAS et partagées sur le réseau local. Les formats de fichiers les plus courants (MP3, WMA et AAC) comme les fichiers audio HD jusqu’en 24 bits/192 kHz (FLAC, ALAC et WAV) sont pris en charge. Les musiques stockées dans la mémoire d’un smartphone ou d’une tablette peuvent également être lues sans fil et diffusées sur tout ou partie des éléments Denon Heos constituant le système multiroom domestique. Enfin, en connectant une source externe contenant de la musique sur le port USB ou sur l’une des entrées audio analogiques ou numériques d’un appareil Denon Heos, la musique peut être lue non seulement sur l’appareil en question mais également diffusée simultanément sur un ou plusieurs des éléments constituant le système audio multiroom Denon Heos. Même la musique reçue par un appareil Denon Heos en Bluetooth peut être redirigée simultanément sur une ou plusieurs enceintes Heos via le réseau local.

Mise en service

Afin de pouvoir installer et configurer les différents éléments Denon Heos, nous avons donc téléchargé la version iOS de l’application Denon Heos sur un iPhone 6 et un iPad Air 2. Une fois lancée, l’application demande un accès au microphone du smartphone ou de la tablette. Pourquoi ? Parce qu’elle va communiquer avec le produit Heos via le câble de liaison mini-jack, notamment pour lui communiquer l’identifiant du réseau et la clé pour s’y connecter. La première étape de l’installation consiste donc à brancher le câble audio mini-jack à la prise casque de l’iPhone puis à en relier l’autre extrémité à l’entrée auxiliaire à l’arrière de l’appareil Heos. Lorsque c’est fait, il faut surveiller la diode à côté du bouton Connect.


L’application Denon Heos guide pas à pas l’utilisateur dans les différentes étapes de l’installation.

Dès qu’elle passe au jaune, on presse le bouton Connect et on attend que la diode clignote en vert pour passer à l’étape suivante. L’appli lance alors une détection des réseaux WiFi à portée (précisons que l’iPhone ou l’iPad utilisé doit être connecté au réseau local sur lequel les produits Denon Heos vont être connectés). Une fois le réseau choisi, il ne reste plus qu’à saisir le mot de passe permettant d’y accéder pour que l’appareil Denon Heos s’y connecte en quelques secondes. Simplissime.

 

Il est également possible de relier n’importe quel appareil Denon Heos au réseau local avec un câble réseau, auquel cas l’étape de recherche du réseau WiFi et de validation du mot de passe est tout simplement ignorée.


 

En bref: les OLED, c’est quoi?LED signifie light-emitting diode, diode électroluminescente en français. Les OLED sont des LED organiques, c’est-à-dire des diodes électroluminescentes faites à partir de composés de carbone. On ne dirait pas qu’il y a une grande différence. Mais doit-on vraiment s’intéresser à la composition de ces diodes?

Par rapport aux LCD, les OLED ont l'avantage que les LED, aussi appelées pixels, brillent toutes seules, sans rétroéclairage. Là où il y a du noir dans l'image, vous voyez du noir, parce que le pixel correspondant s'éteint, un peu comme une lampe. Il en résulte d’excellents contrastes, qui sont d'autant plus importants, car la différence entre le pixel le plus sombre et le pixel le plus lumineux est plus grande. Et plus les valeurs de contraste sont bonnes, plus le spectre de couleurs de l'écran est large. Cela a des répercussions sur le contraste. Chez l’OLED, un pixel noir est absolument noir. Chez l’LCD, un pixel noir couvre le rétroéclairage, mais un peu de lumière passe tout de même. Les contrastes ne sont, par conséquent, pas si élevés.Tout ça pour vous dire que les écrans OLED livrent des couleurs intenses et fidèles à la réalité, et que c'est pour ça qu’on les apprécie tant.

La durée de vie plus courte de l’OLED représente un inconvénient de taille, mais qui ne devrait toutefois pas jouer de rôle majeur dans la pratique. Quand on parle de durée de vie plus courte, on parle d’environ 20 000 heures avant que la luminosité soit réduite de moitié. Ce qui suffit pour deux heures par jour pendant 27 ans. 

Les processeurs d'images sont principalement conçus pour calculer et améliorer les signaux vidéo provenant des tuners ou des canaux d'entrée vidéo, tels que les ports HDMI. Parce que même la meilleure dalle OLED ne vous est d'aucune utilité si le processeur ne peut pas traiter les images correctement.

L'Alpha 9 offre un autre avantage, à savoir une fréquence d’image élevée (high frame rate). Au cinéma, une seconde de film est généralement constituée de 24 images. Comme l'œil humain est incapable de distinguer 24 images par seconde, il ne voit qu’un mouvement fluide.

Une fréquence d'images élevée est utilisée lorsque le nombre d'images ou d'images par seconde dépasse le nombre habituel de 24 images par seconde. Cela rend les mouvements fluides encore plus fluides. Ceci devrait conduire à moins de stries dans les scènes d'action rapide ou les émissions sportives. Un exemple marquant? La saga «Hobbit» de Peter Jackson, qui a été entièrement tournée avec 48 images par seconde.


Pourquoi les watts à eux seuls n’indiquent rien

Le watt est l’unité physique qui exprime la puissance. Or les haut-parleurs hi-fi sont, dans 90 % des cas, des enceintes passives. Ils ne fournissent donc aucune puissance. Ils se contentent de transmettre ou de consommer le «jus» qui vient de l’amplificateur ou de l’étage amplificateur final. Les informations du genre «100 watts par canal» se rapprochent certes déjà plus de la réalité, mais le nombre de watts d’un amplificateur n’a pas non plus grand-chose à voir avec ce qui sort de vos haut-parleurs.

 Les haut-parleurs actifs font encore figure d’exceptions dans le domaine de la haute-fidélité. Ils sont très courants en informatique (les petites enceintes d’ordinateur de bureau) et sur les appareils dotés de la technologie Bluetooth (mini-enceintes portatives).

Le son qui en sort est généralement bien loin de celui des studios d’enregistrement.

 

C’est le rendement du haut-parleur qui est décisif. Il indique quel son est obtenu à partir des watts fournis pas l’amplificateur. Une enceinte n’aura sans doute besoin que de quelques watts pour produire un coup de grosse caisse de batterie qui fera vibrer vos tripes, alors qu’une autre nécessitera 1000 watts, voire davantage.

Ces indications figurent rarement dans les prospectus. Les fabricants sérieux effectuent par contre des mesures dans des pièces standard. Ils calculent la pression acoustique en décibels (dB) que produit un haut-parleur à une puissance de 1 watt, mesurée à une distance d’un mètre. Le résultat est exprimé en dB/W/m.

 

Lorsqu’un haut-parleur a un bon rendement, il produit un volume sonore plus élevé qu’un haut-parleur dont le rendement est faible. 78 dB/W/m est une valeur très faible, 94 dB/W/m une valeur très élevée. Cela revient à 10 dB plus une multiplication par deux du volume perçu de manière subjective. Et chaque transducteur électroacoustique nécessite dix fois plus de courant électrique. Donc si un haut-parleur a un rendement de 80 dB/W/m, il a déjà besoin de 10 watts pour atteindre 90 dB sur des appareils hi-fi, de 100 watts pour un niveau de 100 dB et de 1000 watts pour les crêtes. Dans mon exemple ci-dessous, le haut-parleur à faible rendement a besoin d’environ 26 fois plus de puissance pour produire un même volume sonore. Concrètement, le haut-parleur dont le rendement est correct nécessite seulement 4 watts pour 100 dB, alors que l’autre doit obtenir 106 watts. Vous voyez, les watts exprimés seuls ne disent pas grand-chose.

 

 En technique acoustique, la résistance des haut-parleurs était un facteur décisif (c’est parfois encore le cas aujourd’hui). Elle indique la puissance qu’un amplificateur peut envoyer au haut-parleur sans dépasser un certain niveau de distorsion ou sans surchauffer le haut-parleur ou son tweeter. Elle dépend de la durée, de la charge nominale, des crêtes, des impulsions, ainsi que de la capacité de charge musicale. De nos jours, la résistance n’est plus qu’une valeur théorique, car les châssis sont bien plus solides. Même si ça peut sembler étrange, les amplificateurs à faible puissance nuisent bien plus à un haut-parleur que les amplificateurs plus musclés.

 

Les amplificateurs plus faibles nuisent davantage au haut-parleur que leurs versions plus puissantes? Mais comment ça? Ils ont tendance à produire de l’écrêtement (de grosses distorsions) lorsqu’ils sont trop sollicités, ce qui est bien plus dangereux pour les tweeters qu’une légère surdose de puissance. 10 watts de son distorsionné sont bien pires que 100 watts de son normal.

 

En fait, c’est une question de stabilité de l’amplificateur. La puissance électrique est le produit de la tension et de l’intensité du courant. Un haut-parleur ne fournit jamais une valeur de résistance électrique constante à un étage amplificateur final. Plus la résistance chute, plus l’étage amplificateur final doit apporter du courant afin de maintenir la puissance. 

 

Tout comme les haut-parleurs ont un seuil de résistance, les étages amplificateurs finaux ont un seuil de puissance. Dans les amplificateurs à transistors conventionnels, les distorsions augmentent et dépassent rapidement ce seuil. On parle alors d’écrêtement. Ce phénomène peut détruire les tweeters en une fraction de seconde. Plus vous avez de marge de manœuvre, moins le risque est élevé pour les haut-parleurs. La situation est un peu différente pour les amplificateurs à tubes. Ils supportent mieux les distorsions, mais ils sont moins puissants.

 

Le meilleur conseil que je puisse vous donner, c’est de tester votre appareil. Les watts ne vous donneront aucune indication sur la qualité du son.


Vous possédez une chaîne HiFi qui vous sert à streamer ou à écouter des CD ou des vinyles, mais vous n’êtes pas satisfait du son produit dans votre salon. Vos haut-parleurs ne sont sans doute pas positionnés de manière optimale. Nous vous donnons quelques conseils pour améliorer votre son gratuitement ou à moindre coût.

Je vous épargnerai les détails de l’acoustique intérieure. C’est un sujet complexe, et je n’ai envie ni de vous barber, ni de vous énerver avec des propositions irréalisables, ni de vous conseiller des accessoires hors de prix. Je préfère commencer par vous donner quelques informations de base et attirez votre attention sur quelques points essentiels. Ça ne vous coûte rien, mais peut déjà vous aider à mieux tirer parti de votre chaîne HiFi. Tous mes conseils visent à vous donner des basses plus propres, plus «sèches», moins enflées, des aigus équilibrés ainsi qu’une meilleure localisation des instruments et des voix.Il existe deux types de haut-parleurs HiFi principaux: les enceintes colonne et les enceintes compactes, en anglais «floorstand» et «bookshelf». Comme vous l’aurez deviné, elles n’ont pas la même taille.

La majeure partie des enceintes compactes n’ont malheureusement pas été conçues pour être placées dans des étagères. Elles sonnent mieux quand elles sont placées dans un espace libre. Vous devrez donc vous procurer deux supports adaptés. Réfléchissez-y avant de décider quel type de haut-parleurs vous souhaitez acheter.Peu importe que vous utilisiez des pieds ou des supports, les enceintes doivent être stables. Les nouveaux modèles sont souvent livrés avec des pieds en caoutchouc ou en plastique ou des barres de métal. Assurez-vous de bien placer vos enceintes à l’horizontale en vous aidant d’un niveau à bulle.

Je vous recommande d’utiliser les barres sur les tapis et les moquettes, et les pieds en caoutchouc ou en plastique sur les sols en pierre, laminés ou les parquets. Si vous avez un vieux modèle et vous avez perdu les accessoires, vous pouvez vous procurer des pieds. Sur sol lisse, des joints pour fenêtre autocollants feront aussi l’affaire et vous épargneront cette dépense supplémentaire. C’est fou ce qu’ils sont polyvalents!

La plupart des enceintes colonne et compactes sont à présent conçues de telle manière qu’il faut éviter de les placer directement contre un mur ou dans coin, mais plutôt à une certaine distance des surfaces de délimitation. C’est surtout le cas des caissons de basses reflex, dont le panneau arrière est muni d’une sorte de trou. Ils devraient être placés à au moins 30 cm, mais plutôt 60 cm, du mur du fond. Placer librement des enceintes ne signifie bien sûr pas avoir deux monstres au milieu de votre salon. Essayez de les distancer par étapes de 5 cm. Et discutez-en au préalable avec ceux qui partagent votre salon, le cas échéant. Les deux haut-parleurs devraient être à la même distance du mur du fond. Si vos basses grondent moins, ont un son plus propre et davantage de contours, c’est déjà une sacrée amélioration.

 

L’oreille humaine est extrêmement sensible aux minuscules variations de son qui peuvent se produire selon la pièce où nous nous trouvons et la manière dont les enceintes sont positionnées. Lorsque deux sons nous parviennent presque simultanément (ce qui est commun en stéréo), un délai de 40 microsecondes (1/2500 de seconde!) peut changer notre perception des sons et de la pièce. En effet, notre oreille analyse constamment les innombrables ondes sonores qu’elle perçoit afin de dresser un portrait cohérent de notre environnement, de la taille de la pièce dans laquelle nous nous trouvons, de son contenu et surtout de la direction d’où proviennent les sons.

 

Je ne vais pas rentrer dans des détails trop complexes, mais tâchez de faire en sorte que les haut-parleurs et l’endroit où vous écouterez la musique forment un triangle, et que vous vous teniez le plus près possible du sommet. Jouez ensuite vos CD préférés, si possible ceux qui contiennent des chants. Vous verrez à quel point le son est bon au milieu, entre les haut-parleurs. Évidemment, cela vaut uniquement si le chant a lui aussi été mixé à cet endroit. 

 

Vos haut-parleurs sont bien positionnés, mais vous n’êtes toujours pas satisfait du résultat? Il est temps de prendre des mesures plus radicales. En général, les grandes surfaces lisses et dures sont l’ennemi juré du son. À l’inverse, les surfaces molles et inégales reflètent peu les ondes sonores et les dispersent dans toutes les directions, ce qui favorise un son neutre. 

 


Audiophilie : Quel format choisir ?

« La qualité d’un CD sera toujours supérieure à son fichier numérique »… Vraiment?

 

Avant d’exposer plus en détail les différents paramètres des fichiers audio (comme la fréquence d’échantillonnage, la compression, le format, etc.), je désire vous parler d’une petite expérience dont j’ai été le cobaye lors d’une soirée organisée par mon revendeur Mac et Audio favori et qui nous servira de base dans le développement de mes articles.

 

Le but de l’expérience était d’apporter l’un de ses CD favoris et déterminer quelle version nous préférions entre le fichier audio extrait du CD ou le CD lui-même. Il est important de noter que le matériel sur lequel les deux restitutions nous ont été présentées était quasiment ce qui se fait de mieux dans le domaine de la HiFi, voyez plutôt: Lecteur CD Nagra, Ampli à lampes Nagra 300D, enceintes Jean Maurer et/ou B & W 800 Diamond. Pour la partie dématérialisée, le fichier passait d’un MacBook Air à un DAC Cambridge avant d’être envoyé à l’ampli Nagra. Bref que du très haut de gamme.

 

Résultat? Après une quinzaine de soirées organisées par M. Mury et son équipe, la très grande majorité des personnes présentes (ingénieur du son, mélomane averti ou musicien professionnel) est venue à préférer le rendu et la précision offerts par le fichier audio issu du CD et non pas par le rendu de l’exceptionnel lecteur CD (à plus de 16’000 francs) de la firme Kudelski.

 

 

Étonnant? Non pas vraiment. Mais pour arriver à un tel résultat, il y a un grand nombre d’étapes que je vais m’efforcer de vous expliquer.

 

Avant de vous expliquer comment on rip (importe) un CD de manière à ce que la copie soit une copie parfaite de celui-ci, on parlera alors de « bit-perfect », il est important de choisir dans quel format le fichier issu du CD sera encodé. Cette question n’est pas si anodine que cela au vu du nombre important de formats que l’on retrouve dans la sphère numérique, ce d’autant plus qu’ils ne sont pas toujours identiques entre le monde Mac et le monde PC.

 

N. B. Pour des raisons évidentes de simplification, je me permettrai un petit abus de langage en assimilant les notions de format et de codec.

 

De manière générale, on retrouve trois grands groupes de formats audio: les formats sans compression (type .wav ou .aiff), les formats avec compression non destructive (type .flac ou .alac) et les formats avec compression destructive (type mp3, .aac, .wma, .ogg). Dans le cadre d’une optique audiophile, il semble logique et évident qu’il faut orienter notre choix sur un fichier où l’information ne sera pas détruite.

 

Malheureusement, cette évidence ne semble pas si logique que cela pour tout le monde… Loin de moi l’idée de dénigrer les réflexions d’Apple et de son iTunes Store ou d’autres marchands de rêve, mais il est totalement impossible d’avoir une restitution de qualité avec des fichiers où une partie de l’information est péjorée, comme c’est le cas, par exemple, avec le. aac quelque soit son taux de compression.

 

 

Le principe de l’aac est simple: en considérant que l’oreille humaine « entend » sur une plage de fréquence comprise entre 20 Hz et 20 kHz (un peu plus si vous avez l’habitude, mais jamais à 30 kHz comme j’ai pu lire sur certains forums à moins que vous soyez issu de la planète Krypton), alors les ingénieurs ont décidé de supprimer les sons se trouvant en dessous et au-dessus des plages audibles pour l’homme. Cela présente l’avantage certain de diminuer le poids du fichier… Malheureusement, cela a également un impact important sur le rendu final de celui-ci; il est d’ailleurs possible de quantifier l’impact des pertes (qui est directement proportionnel au taux de compression utilisé), mais également l’incidence directe sur la qualité globale du fichier. Chose qui n’a pas beaucoup d’intérêt dans cet article, du moment que l’on considère comme acquis que ce genre de fichiers ne sera pas à même de restituer complètement l’enregistrement initial.


Comment fonctionne le bass-reflex ?

 

C’est à la fois simple et compliqué. Simple parce qu’il suffit de percer l’enceinte et d’y installer un tube (résonateur). Le son produit par l’onde arrière du haut-parleur excite alors le résonateur, qui en résonant amplifie une courte plage de basses fréquences. Compliqué parce que le volume de l’enceinte et celui du résonateur sont directement liés et qu’il faut respecter une certaine équation pour que l’évent travaille sur la bonne plage de fréquences. Cette « bonne » plage dépend des caractéristiques mécaniques du ou des haut-parleurs de grave. Pas question d’accorder la charge Bass-reflex à 30 Hz avec des haut-parleurs de 10 cm : le rendement du résonateur serait faible et les fréquences de 40 à 100 Hz seraient très atténuées. La fréquence d’accord est tout un art et certains fabricants développent même spécifiquement leurs haut-parleurs pour cette technique et un volume de charge bien précis.


M.Daren Orth est directeur technique chez Rotel et supervise toute la partie ingénierie et développement des produits. Ce passionné d’Hi-Fi, fort de plus de 25 années d’expérience dans le domaine de la conception de logiciel et de firmware.

Quelles sont les améliorations principales apportées à la nouvelle série 14 ?

 

La série comprend de nombreuses améliorations sonores, ainsi que de nouvelles fonctions adaptées à tous les types d’écoutes, du vinyle au streaming via internet, en passant par la lecture de fichiers partagés sur un réseau local ou encore à la transmission sans fil Bluetooth. En héritant de certains éléments de design issus des modèles de la série 15, la série 14 bénéficie de technologies telles que la prise en charge du Bluetooth apt-X, la connexion audio PC-USB haute résolution (DSD / DoP pris en charge par le ROTEL, de nouveaux circuits imprimés, d’un nouvel affichage graphique, des améliorations apportées à l’alimentation et plus encore. Tous les modèles de la série 14 offrent un son plus détaillé, une scène sonore plus large et une plus grande précision du message sonore.

 


Êtes-vous sûr que la qualité du rendu de votre chaîne stéréo justifie son prix ?

 

Voici deux courbes de réponse en fréquence. La Figure 1 ci-dessous illustre la courbe de réponse en fréquence idéalisée d'une paire d'enceintes. Elle représente la performance d'une enceinte testée à l'usine, dans des conditions contrôlées. Comme vous le constaterez, la ligne rouge des notes basses proches de 50Hz est très plate jusqu'aux très hautes fréquences de 20 000Hz. 

 

La figure 2 illustre l'effet négatif du positionnement mal étudié sur les performances de vos enceintes. Alors que la figure 1 vous donne un modèle parfait comparable à une crème homogène et fluide, la figure 2 est une vraie bouillie !

Investir dans les composants de qualité que vous propose Accuphase, Rotel, Marantz, B&W, n'est que la première étape du processus de création d'un son exceptionnel. L'aspect le plus souvent négligé dans la recherche de performances hors pair est l'utilisation optimale des enceintes. Utilisez-les mal et vous réduirez vos chances de profiter au mieux des graves, de la restitution stéréophonique, de la dynamique et de la clarté de votre système.


Haute Fidélité question sur les câbles...Le vieillissement des câbles??

Les conducteurs, les diélectriques sont soumis à un phénomène de vieillissement plus ou moins rapide : oxydation de la surface des conducteurs (là justement où l'effet de peau est prépondérant), durcissement des gaines avec dégagement de gaz halogènes accélérant la corrosion des conducteurs, modification de la structure cristalline suite aux tractions mécaniques, oxydations des prises.

 


Haute Fidélité  question sur les câbles.....Les câbles  ont-ils autant d'importance ?

Les utilisateurs ont répondu d'eux-mêmes à cette question. Certains n'y attribuent aucune importance, pourvu que I ‘on respecte des principes essentiels de bons contacts, de bon isolement, de faible résistance linéique et de faible capacité parasite.

 

D'autres estiment comme "considérable" leur influence sur la qualité sonore, sur différents paramètres subjectifs : sensation de pureté, d'absence de distorsion, équilibre spectral, capacité d'exploration des deux extrémités de la bande audio, sensation de profondeur de relief sonore, consistance du grave, filé et finesse de l'aigu, etc.  Fier la personnalité sonore d’un câble sur des paramètres précis, liés parfois aux goûts de l'utilisateur, pour en masquer d'autres, que I ‘on découvrira parfois trop tard, après un achat hâtif.


Haute-Fidélité  Amplis Hi-Fi DLNA

Les amplis hi-fi DLNA permettent d'écouter les musiques en ligne depuis une multitude de services Internet, mais aussi les fichiers audio partagés sur un réseau domestique ou diffusés sans fil depuis un smartphone ou une tablette iOS et Android.

Ces amplis stéréo DLNA tout-en-un intègrent souvent un lecteur CD et un récepteur FM en plus des fonctions réseau. À noter que la majorité des amplis home-cinéma offre la fonctionnalité DLNA.

En pratique, un ampli hi-fi stéréo DLNA fonctionne exactement comme un amplificateur stéréo traditionnel, à cette différence qu'il embarque deux composants supplémentaires : un contrôleur réseau (WiFi ou/et Ethernet) et un convertisseur numérique-analogique (DAC). La présence d'un DAC embarqué implique parfois la présence d'entrées audio numériques au format S/PDIF (optique Toslink et coaxial RCA) afin de connecter des sources numériques et profiter d'un décodage de qualité.


On indique parfois la classe de l'amplificateur (classe A, AB, B, D, H). Cette caractéristique indique le mode de fonctionnement de l'électronique.

  • La classe B ou AB est la plus répandue. Elle offre d'excellentes performances, tant musicales que de rendement. La classe A pure est appréciée des audiophiles ultra-exigeants car elle permet de réduire la distorsion sur les signaux très faibles. Seuls les matériels les plus coûteux en classe A font la différence avec les très bons modèles en classe AB. De plus, la classe A produit peu de puissance et chauffe énormément.
  • La classe D travaille par découpage très rapide en largeur d'impulsion. Ce mode très particulier offre un excellent rendement (et chauffe peu). Il demande une qualité de fabrication plus sophistiquée, notamment au niveau du filtrage. Il est réservé aux amplis de très forte puissance pour les caissons de graves et les usages professionnels (jusqu'à 2x1200 Watts).
  • La classe H est une classe AB avec modulation de l'alimentation pour les signaux très forts. Elle est surtout utilisée en sonorisation professionnelle.
  • La classe A+ consiste à travailler en classe A jusqu'à une puissance significative (quelques watts) et à basculer en classe B ensuite.

NAS stockage réseau

Le NAS (Network Attached Storage) est comme son nom l'indique un dispositif de stockage connecté à un réseau domestique. Communément appelé disque dur réseau, le NAS est en réalité un petit ordinateur intégrant un ou plusieurs disques durs et fonctionnant avec un système d'exploitation propriétaire. Cet appareil réseau bien pensé se révèle indispensable pour ceux qui veulent profiter de leurs médias musiques et vidéos partout dans la maison sans avoir à allumer l'ordinateur.


Ampli Hi-Fi ou audio-vidéo (multicanal 5.1 et plus) ?

Si vous êtes audiophile, vous préférerez un ampli hi-fi, mais rien ne vous empêche, si vous en avez le budget, d'investir dans un ampli-home-cinéma (ampli AV pour audio-vidéo) de bonne qualité qui saura allier plaisir de la musique et émotions du home-cinéma. Tout dépend si vous désirez alimenter seulement 2 ou 5 à 7 enceintes. 
Les amplificateurs stéréo sont conçus pour être particulièrement précis sur 2 canaux, avec une excellente séparation de la stéréo, bien meilleure que celle des amplificateurs home-cinéma.  Si l’écoute de musique est plus importante que la vidéo, n’hésitez pas à opter pour un système stéréo de qualité.


Quel niveau de performances ?

Les performances techniques sont importantes... tant qu’on n’approche pas trop leurs limites. La puissance doit être confortable, adaptée à la taille de votre pièce, généralement, nous vous conseillons un minimum de 2x40 Watts. Cependant, si vous choisissez des enceintes ayant une sensibilité peu élevée (Contrairement à une idée trop répandue, un ampli beaucoup plus puissant que ce que peuvent admettre les enceintes est moins dangereux que l'inverse pour celles-ci. En effet, un amplificateur trop faible risque d’écrêter et de produire un très fort niveau d’harmoniques qui peut détruire les haut-parleurs d’aigus.


Haute fidélité le DAC

Le DAC Audio a le vent en poupe ! Et pour cause, ce convertisseur audio numérique-analogique transfigure complètement le son de toute source digitale, lecteurs optiques (CD/DVD/Blu-ray), iPhone et ordinateurs en tête. Cet appareil se présente sous la forme d'un boîtier compact flanqué de plusieurs entrées numériques (S/PDIF et USB asynchrone) et d'une sortie stéréo analogique. En pratique, il se substitue à la source pour décoder les musiques numériques, qu'il sait extraire et convertir dans les règles de l'art. De quoi transformer une citrouille en carrosse.

Quelques explications

Un peu d'histoire pour commencer. Dans les années 80, l'avènement des lecteurs de CD-Audio ne fait pas l'unanimité chez les audiophiles, qui reprochent au CD son manque de chaleur et de réalisme, en comparaison notamment du disque vinyle. La faute incombe essentiellement aux DAC internes des lecteurs, peu sophistiqués, qui réalisent une foultitude d'erreurs dans le traitement du signal numérique. La mécanique de lecture transmet les données numériques de manière irrégulière, provoquant des erreurs de décodage. Ce phénomène, appelé  jitter en anglais (la bougeotte en quelque sorte), est à l'origine d'un chevauchement des informations musicales dans les hautes fréquences, dont la conséquence est un étriquement de la scène sonore et une certaine agressivité.

Comme toutes les oreilles ne sont pas sensibles à ce phénomène, que son solutionnement nécessite l'emploi de processeurs complémentaires à installer dans les lecteurs CD - avec un inévitable développement logiciel - et que tout cela est fort coûteux, les fabricants de platines CD ne corrigent pas le tir, sauf pour certains lecteurs haut de gamme. Ils laissent ainsi un marché de niche s'organiser, autour de marques haut de gamme qui proposent des DAC externes de compétition. Connectés à la sortie numérique optique ou coaxiale de n'importe quel lecteur CD, ces DAC synchronisent le flux de données numériques et réalisent ainsi une conversion de qualité.

Trente ans plus tard, rien n'a vraiment changé, sinon que les DAC externes sont devenus très abordables et prennent en charge la conversion audio numérique depuis un ordinateur, un smartphone ou une tablette. Bref, pour un investissement modeste, il est possible de transfigurer le son de son installation Hi-Fi.

Le DAC audio réseau : avec ou sans fil

Alternative à la liaison filaire optique, coaxiale ou USB, la transmission des données numériques par le biais d’un réseau local Ethernet ou WiFi est proposé par certains DAC Audio. Le plus souvent, il s’agit de lecteurs audio réseau équipés d’entrée numériques et jouant - parfaitement - le rôle de DAC. Ces appareils sont plus imposants et peuvent être piloté par une application pour smartphone ou tablette. Plusieurs normes de transmission existent :Apple AirPlay, DLNA ou Kleer, toutes étant lossless (sans perte), donc parfaitement respectueuse du fichier original. Le flux audio est streamé depuis la source (smartphone, ordinateur, NAS, etc.) vers le DAC Audio réseau qui réalise la conversion en analogique. 

Le transport numérique

Comme son nom le suggère, le transport numérique a pour fonction d’extraire les données numériques d’une source (ordinateur, lecteur). Il resynchronise l’horloge interne de la source afin de réguler le flux de données et ainsi éviter la formation du jitter. Equipé lui-même de sorties audio numériques, le transport numérique a vocation être utilisé en cascade avec un DAC haut de gamme, auquel il fournit un signal d’une très grande propreté, par le biais d'une sortie numérique S/PDIF (optique, coaxiale, BNC ou AES/EBU).

Le suréchantillonnage en question  

Cette technique s’apparente à l’upscaling vidéo, et repose sur le “gonflage” du signal audio numérique par la méthode de l’interpolation. Par exemple : suréchantillonner un flux 44,1 kHz / 16 bits (MP3, AAC, WMA, etc.) en 192 kHz / 24 bits. De très nombreux DAC Audio proposent cette option, qui ne doit toutefois pas être un critère de choix prépondérant. En effet, les bénéfices à l’écoute ne sont pas toujours évidents et - surtout - le suréchantillonnage est générateur de jitter. Mieux vaut donc décoder un fichier MP3 dans sa résolution native que de le vitaminer à coups d’octets interpolés, sous peine d’en dégrader la restitution.

L'importance de l'alimentation et des amplis OP

L’alimentation électrique d’un DAC Audio est aussi primordiale que celle d’un amplificateur. Notez que les DAC USB auto-alimentés donnent le plus souvent de moins bons résultats que les modèles disposant d’un bloc secteur. Le nirvana reste le transformateur torique, capable de délivrer un courant ultra-stable et disposant d’une importante réserve. Il n’est présent que dans les appareils haut de gamme, à quelques exceptions près. Les bénéfices à l’écoute sont très concrets, avec un niveau de grave très convaincant et une marge dynamique plus élevée, bien souvent liée à la présence de bons amplis 


Haute-fidélité câble Haut parleur article 3

Quelle longueur et quelle section choisir ?

Ces deux paramètres sont liés. Le diamètre d'un câble a une grande influence sur la résistance du conducteur. C'est déterminant quand la longueur augmente car l'amplificateur ne "voit" qu'un ensemble câble + enceinte. La capacité du câble et sa résistance ont donc une influence sur le comportement de l'amplificateur. Une section plus faible a souvent des caractéristiques plus adaptées aux hautes fréquences. Cela dit, les pertes de niveau en ligne peuvent être trop importantes à partir d'une dizaine de mètres. Nous préconisons donc un diamètre de 1,5 à 2,5 mm² pour les longueurs comprises entre 1 et 5 mètres. Au-delà, un câble de section 4 mm² est souvent préférable.

Si votre installation est constituée de nombreux appareils avec leur lot de câbles qui courent le long les uns des autres ou si vos enceintes sont éloignée de plusieurs mètres de l'amplificateur, alors il peut être judicieux d'acquérir un câble optimisé, de forte section, offrant un niveau de blindage plus ou moins élevé et doté de matériaux conducteurs de qualité supérieure.

Par ailleurs, il est préférable de prévoir une longueur de câble la plus adaptée à la distance réelle qui sépare l'amplificateur de l'enceinte. Un câble trop long, enroulé sur lui-même pour être plus discret risque d'occasionner des inductances parasites. À l'inverse, un câble trop juste en longueur présente un risque de tension excessive sur les connecteurs avec à terme, un risque d'arrachement.

Précisons tout d'abord que tous les câbles d'enceintes sont soigneusement sélectionnés pour leurs qualités et leur fiabilité afin de transporter le signal audio amplifié dans les meilleures conditions possibles.

Mais alors, pourquoi autant de câbles à des prix si différents ? Que choisir entre du premier prix et du très haut de gamme ?

La réponse est affaire de bon sens : tout comme vous ne chausseriez pas une voiture citadine de petite cylindrée avec des pneus de Formule 1, ni l'inverse d'ailleurs (!), vous ne choisirez pas un câble d'enceintes haut de gamme pour une installation hi-fi standard, ni un câble d'enceintes basique pour une chaîne d'exception.

 

Certes la fonction est la même (transporter le signal audio amplifié de l'ampli vers les enceintes). Un câble haut de gamme n'améliore pas la qualité du son délivré par un amplificateur et ne fera pas de vos petites enceintes compactes de grosses colonnes High End ! Mais il optimise et sécurise le transfert du signal audio de l'ampli vers les enceintes afin qu'il conserve toute son intégrité. La qualité et la structure du cuivre utilisé (OFC, LGC), la géométrie du câble, l'isolation des conducteurs et le niveau de blindage influent sur la transmission du signal. La qualité des matériaux employés et le soin apporté à la fabrication sont également un gage de pérennité et de maintien des performances dans le temps.


 Pourquoi mettre un câble d'enceinte spécial plutôt que du simple câble électrique ?

Après tout, ce n'est qu'un conducteur conçu pour transmettre de la puissance. Cette remarque n'est pas totalement fausse. Toutefois, il faut noter que le câble électrique classique est conçu pour transmettre un signal de puissance qui possède toujours la même fréquence (50 Hz). Ses qualités intrinsèques ne sont pas particulièrement optimisées car la majorité des appareils alimentés en courant sont équipés de systèmes de filtrage conçus pour éliminer tout ce qui dépasse les 200 Hz.

Par opposition, un bon câble d'enceinte doit avoir un comportement rigoureux en termes de capacité et de résistance dans tout le spectre audible soit au minimum entre 20 Hz et 20000 Hz ! Or, les différentes fréquences d'un signal audio ne circulent pas de la même façon dans un câble. Ce dernier doit donc être adapté en fonction de l'usage spécifique auquel il se destine. 

 


Câbles pour Haut-parleur  au mètre

 Le câble d'enceintes est trop souvent le maillon faible d'une installation Hi-Fi/Home-cinéma. Il est essentiel de ne pas sous-estimer son importance, au risque de pénaliser les performances de l'ensemble du système. Tous les câbles ne produisent pas la même sonorité, certains favorisant les basses et d'autres les hautes fréquences. Aussi, il n'est pas absurde d'essayer plusieurs modèles de câbles pour enceintes. Pour faciliter vos branchements, pensez aux fiches bananes et aux fourches, sinon, optez d'emblée pour un câbles d'enceintes pré monté.

Le câble d'enceintes achemine le signal audio amplifié depuis l'amplificateur vers les enceintes. Le choix d'un câble d'enceintes se fait selon plusieurs critères, parmi lesquels interviennent la distance qui sépare les enceintes de l'amplificateur, leur qualité et leur niveau de gamme, ainsi que les conditions environnementales.

 


Ne négligez pas le caisson de basses !

Contrairement à une idée reçue, le CAISSON DE BASSES  est aussi utile en hi-fi qu’en home-cinéma : il apporte de la profondeur à l’écoute stéréo en reproduisant avec brio les fréquences inférieures à 50 Hz. Les meilleurs caisson de basses pour la hi-fi sont les modèles clos avec haut-parleurs de 20 à 25 cm au maximum. Enfin, ne négligez pas les supports d’enceintes et les meubles audio-vidéo, qui favorisent une installation élégante de vos électroniques, tout en améliorant leurs performances en les protégeant des vibrations.